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C'est ainsi que le jeune homme rencontra Vlad.
- J'ai désespérément besoin de quelqu'un pour faire mon ménage, commença Vlad. Voyez-vous, ma famille a récemment eu de gros problèmes. Ma femme et mon fils sont malades, un voleur nous a cambriolés, nous avons perdu un être cher, j'ai eu un accident de voiture... et... et… mais, je ne vais pas tout vous raconter. Sachez juste que j'ai besoin de quelqu'un pour m'aider. Je suis désespéré !
Le jeune homme écouta Vlad se plaindre sur ses conditions de vie, sans lui montrer à quel point en réalité, il n'en avait rien à faire. Après un bref instant, Vlad reprit :
- Si vous acceptez de travailler pour moi, je ne serais pas en mesure de beaucoup vous payer. Par contre, vous pourrez vivre chez moi si vous le souhaitez ! Au fait, quel est votre nom ?
- Je m'appelle Ilan, répondit le jeune homme. Je viens d'un lointain pays.
- Oh! Cela explique donc votre...heu... look ! fit Vlad hésitant.
- Hé bien, Ilan ! reprit Vlad rapidement pour changer de sujet. Quelle est votre réponse ? Est-ce que vous acceptez ma proposition ?
Et à sa propre surprise, Ilan répondit :
- J'accepte ! Ma situation n'est pas meilleure que la vôtre de toute façon. Nous pourrions nous entraider !
- Parfait ! s'exclama Vlad avec joie. Je vous attendrais demain matin chez moi. Voici l'adresse.
Vlad partit et Ilan resta seul.
- Cette journée aura été un peu moins déprimante que les autres, pensa le jeune homme. Après tout, j'ai enfin réussi à trouver du travail ! C'est loin d'être merveilleux, mais c'est au moins un début. J'espère seulement avoir pris la bonne décision, ce type est un peu bizarre.
Sans le vouloir, il se mit à sourire.
- J'imagine que lui aussi doit me trouver bizarre ! C'est très gentil de sa part de m'avoir embauché malgré mon apparence peu commune. Allez mangeons ce sandwich ! C'est la dernière chose qu'il me reste, en espérant que demain, je pourrais manger correctement.
Alors que le jour était en train de se coucher, je me levais. Kitty était déjà là, à côté de l'objet que je détestais le plus au monde.
- As-tu pris ta décision Horrora ? me demanda-t-elle.
- Oui, soupirais-je. J'ai pris ma décision. Je vais utiliser cette... chose.